La violence que l’on s’inflige à soi-même
Extrait de Mon envol vers la liberté
Marshall m’a indiqué une voie pour devenir responsable de ma vie, en mesurant les nuances subtiles gravitant autour de cette notion, quand il dit : « Je ne suis pas responsable des sentiments des autres, mais je sais me comporter en personne responsable. » Le langage déresponsabilisant des « je dois, il faut, je n’ai pas le choix,
la vie me dicte, c’est ainsi… » participe à illustrer nos dénis, ce qui fait violence sur soi et autrui dans de nombreux cas.L’un des secrets est de cesser de penser que c’est l’autre qui est « con » et de commencer à voir doucement « le con » en moi !
J’ai pu récemment constater combien nos valeurs historiques héritées du système dans lequel on a vécu enfant demandent à être regardées, remerciées pour évoluer vers nos valeurs d’aujourd’hui puis celles que l’on va choisir, qui nous plaisent, qui nous font kiffer.
